Rejoins moi en enfer, mon coeur brûle de ce feux si ardents qu'est celui de vivre |PV Len et Mary|

Les tombes sont muettes, Dans mon coeur sonne les clairons. Mais aussi les trompettes. Ont-elle raison? Ont-elle jamais sonner aussi fort qu'aujourd'hui? Que nenni. Et, s'il en est ainsi, c'est juste parce qu'aujourd'hui, les rimes hantes mon coeur. Tout comme mon ancêtre Bloody Mary, Mais elle ne vivait peut-être pas sans rancœur?!

Il vas sans doute bientôt pleuvoir. Because qu'il a fait chaud pendant des jours et que le ciel est sombre. Pas grave, j'ai toujours mon parapluie a mes coter. Je regarde mes ongles. Ils sont rouges aux sang. Pourquoi? Ben, disons que je suis une de ces filles a se ronger les ongles jusqu'au sang. Les ongles long de star c'est pas mon truc. Enfin, sa l'était a une époque. Plus maintenant en tout cas.
Sans nom passe dans le cimetière et s'approche de moi. Sans nom, c'est mon chat noir. Il n'as pas de nom vu que je trouve sa inutile de l’appeler par un prénom qui n'est sans doute pas le sien. Il ronronne et je lui gratte sans trop y prêter attention le cou. A vrai dire, je suis occupée a regarder un couple de fantômes danser. Au fait, vous ne savez rien vous!
Je vois les fantômes. Mes parents ne savent rien. Deux docteurs, ils croiraient sans doute que je suis folle comme ma grand-mère. Peut-être que je le suis, folle a liée. Bref, je n'en ais jamais parlé a personne. Sans doute trop peur que l'on me fasse interner...
Là, il fait nuit. On doit être pas loin des onze heures du soir. Je suis habillée avec ma grande robe noir "de sorcière" comme dirait mon débile de frère. C'est pour sa que je peux voir les fantômes danser. Vous me croyez folle? Et ce mec qui se trimbale dans un cimetière a cette heure si, vous lui dite rien au blondinet hein? Pfft! Je caresse toujours mon chat qui est couché sur moi, et avec mon autre main, je prend ma bombe de déodorant. C'est efficace dans les yeux.... Sisi, je vous assure, je l'ait essayée sur un moineau: il est mort 10 minutes plus tard, les yeux liquéfier. Je regarde donc avec méfiance le garçon qui s'approche de moi.

Je hausse les épaules et esquisse une petite moue qui veux tout dire. Il fallait qu'il laisse tomber, je ne répondrais pas a sa question. Ou plutôt, j'y répond par une autre en lui disant:

Comment t’appelle tu?

Une question vraiment anodine. A vrai dire, je lui poserais une foule de question mais ne répondrais pas aux siennes. Je le fixe droit dans les yeux sans ciller. Mes yeux n'ont jamais eut peur de rien contrairement a mon coeur. Le chat noir nous observe d'un peu plus loin, je sent son regard vers posé sur nous deux. Puis, a force d'attendre la réponse du blondinet, je m'impatiente comme devant les films Saw et me met a mourir d'ennuie, aussi je joue avec une mèche de mes cheveux bleu qui paraissent noir dans la nuit.